S’engouffrer dans une micro fissure de bonheur.

Ce matin je me suis levé, j’ai regardé mon Google actu, mon Feedly et mince de mince, le côté obscur a réellement pris le pouvoir…

Bien voilà, c’est le deuxième confinement, certes contraignant pour tout le monde et je ne vous parle même pas de nos petites personnes, nous les indépendants qui ont commencés dans le seconde partie de 2018 et n’ayant peu de bénéfices, ne peuvent prétendre à aucunes aides.

Quand on décide d’être indépendant, on assume le « marche ou crève » pour un idéal de liberté.

On se me bat constamment, il y a des hauts et des bas, on peut nous interdire de bosser d’un côté, on renforce nos autres casquettes et c’est vrai c’est un peu ulcéreux. Il ne faut se mentir, ce sont aussi les défis et la montée d’adrénaline qui peuvent participer à l’attrait de l’indépendance professionnelle.

Certes, les nuits sont plus courtes parfois, les fins de mois ne sont pas celles que l’ont souhaitées, mais nous pouvons être fiers de ce que nous accomplissons et ce, même si c’est se mettre dans la peau d’un Don Quichotte.

À titre personnel, j’ai la chance d’avoir une petite troupe, des amis, des proches, une fanbase qui m’encourage constamment avec ma princesse en tête.

Engouffrons-nous dans notre micro fissure de bonheur

À titre personnel, j’ai aussi un groupe de prescripteur, de partenaires, de clients qui au fil de l’eau apportent, certes du travail, mais surtout un environnement de collaboration sein et amical.

Donc oui, c’est le bordel dehors, oui comme vous je grogne contre ces dirigeants qui sont peut-être plus perdus que nous.

Donc on sort les pagaies, on met un peu de musique sympa, on prend un bouquin qu’on a peut-être acheté sur Amazon et on s’en fou, tant que l’on trouve une micro fissure de bonheur dans cette sombre période, engouffrons-nous dedans…

À bientôt,
Loïc 🙂